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La Fille de l’Eau – pendentif Ormeau

195,00 TTC

A titre personnel, ayant beaucoup de feu dans ma constitution, l’été j’ai tendance à me consumer. j’avais donc envie de vous proposer une synergie rafraichissante en lien avec l’eau. 
Elle est aussi selon moi liée au rayonnement mais depuis notre vérité personnelle qu’il nous est demandé d’aller chercher, telle des sourcières. 
En réalisant ce mala j’ai senti que telle une sirène j’allais explorer les eaux profondes de ma psychée, surfant sur mes émotions. j’ai gouté l’inconfort mais aussi et surtout une très grande sérénité sous la guidance sereine de la Lune. 
Un mala de pouvoir personnel, qui depuis nos profondeurs nous invite à puiser et révéler notre pouvoir du dedans. 

Il est composé de :

Cyanite : pierre de connaissance de soi et d’élévation spirituelle

Aigue-marine : pierre des orateurs car elle active le chakra de la gorge. C’est une pierre qui nous invite dans nos profondeurs pour se mettre en mots depuis le lieu du coeur. une pierre miroir de l’âme et de clairvoyance visionnaire.

Topaze bleue : Voilà une pierre qui est récemment entrée dans ma collection sur une intuition que j’ai ensuite vérifié auprès du livre de @johann_chevillard qui en dit : “Crois en toi et en tes capacités d’ouverture sur le monde, ne doute plus et fais confiance en ton potentiel créateur et innovant”

Pierre de lune : féminité, reliance, intuition, créativité, réceptivité

 

Pendentif :Utilisé depuis la nuit des temps par les peuples autochtones du continent américain, la coquille d’ormeau (ou coquille d’abalone) est une pièce centrale des rituels de purification et de fumigation.

La coquille symbolise l’eau dans les rituels de purification qui regroupent les 4 éléments alchimiques du cycle terrestre : l’allumette (le feu) embrase la sauge ou l’encens (la terre) et crée de la fumée (air)

Symboliquement, les coquilles d’Ormeaux représentent l’oreille de la Mer et dans la mythologie hawaïenne elle peut symboliser Pélé, la Déesse de l’Océan Pacifique.

Il semblerait que dans la culture  apache, il existe un lien entre le coquillage et la première femme, connue sous le nom de Femme peinte en blanc. Elle est également connue sous le nom d’Esdzanadehe ou Femme changeante. Elle survit à une inondation grâce à la coquille d’un ormeau. Dans la culture Navajo, l’abalone est très présente de leur artisanat en bijouterie.

C’est un symbole représentant la nouvelle féminité qui fusionne avec les générations précédentes de la Femme peinte en blanc. La coquille est un moyen par lequel les filles apache se connectent à leur héritage spirituel. Elles portent la coquille d’ormeau sur leur front pendant le rituel de la puberté. Le pouvoir de l’ormeau fait connaître aux filles leur pouvoir spirituel en tant que femmes et leur capacité à guérir, lorsqu’elles deviennent une femme.

Rupture de stock

Description

Nous voici à l’approche du coeur de l’été dans le calendrier païen européen.

Pour Litha j’ai eu envie de vous proposer deux énergies à la fois différente et complémentaires et c’est ainsi que sont sorties du chaudron : La Fille de l’eau et La Fille du Feu.

Litha est en effet une célébration de rayonnement mais aussi un temps de profonde guérison dont les deux éléments associés sont le Feu et l’Eau. Le feu symbolise bien sûr la course du soleil et la lumière, C’étaient traditionnellement les hommes qui se chargeaient de dresser un grand bûcher pour le feu solsticial. L’Eau quant à elle représente la Déesse : dans de nombreuses traditions, au crépuscule du solstice ou bien à l’aube du solstice, ont lieu des rituels liés à l’élément symbolique “eau”. Ce sont les femmes du clan qui se chargent de cet aspect du rituel solsticial. Après avoir fait une offrande à la Terre-Mère ou à une autre Déesse représentant une des facettes de la Terre-Mère, les femmes se baignaient rituellement dans un cours d’eau pour invoquer les forces de purification. On offrait parfois une petite flamme que l’on déposait sur l’eau pour que le courant l’emporte, ce qui figurait la purification par le feu et par l’eau, ainsi que l’union des forces ouraniennes (le feu) et des forces chtoniennes (l’eau). Les femmes allaient ensuite cueillir des fleurs et différents végétaux sacrés pour faire des couronnes avec lesquelles les participants se coiffent ou alors décorent les maisons et le lieu de la fête solsticiale.

Informations complémentaires

Poids 150 g

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